L’offensive du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) en janvier 2012 contre les camps militaires de Ménaka, Tessalit, Aghueloc, Anderamboukane et Tizawaten marque la relance d’une nouvelle rébellion touarègue au Mali. Forts de leur expérience au sein de l’armée de Kadhafi et des équipements militaires ramenés d’une Libye en pleine déliquescence, les Touaregs du MNLA se montrent déterminés à obtenir l’indépendance de l’“Azawad” par les armes. Face à la mauvaise gestion du conflit par les autorités étatiques et à l’incapacité des forces armées maliennes d’enrayer les succès militaires des rebelles, des soldats stationnés à Bamako entament une mutinerie…

L’article « Retour sur la gestion de la crise malienne » est consultable ci-dessous, de la page 20 à 29.

Il a été publié en octobre 2013, dans le numéro 167 de Wereldbeeld, la revue trimestrielle de l’association flamande pour les Nations unies.