Crédit photo : Assaut du navire nord-coréen « So San » par les forces spéciales espagnoles, le 9 décembre 2002 au large des côtes yéménites. C’est en partie en réaction aux manquements juridiques qui ont empêché la saisie de pièces de missiles balistiques transportées par ce bateau qu' a été initiée l'Initiative de sécurité contre la prolifération (Source : US Navy)

Les affaires relatives à la prolifération de biens à double usage au profit de l’Iran ponctuent régulièrement l’actualité. Suan Zhang, Parviz Khaki, Nicholas Kaïga… Peu connus, ces noms ont pourtant joué, à l’un ou l’autre moment, un rôle déterminant dans la poursuite du programme nucléaire iranien. Ce programme et sa possible dimension militaire sont, en effet, au cœur d’intenses négociations entre Téhéran et la communauté internationale depuis près d’une dizaine d’années. Les suspicions des négociateurs internationaux sont régulièrement entretenues par la découverte de réseaux de prolifération alimentant le programme iranien en biens à double usage, dont l’exportation vers l’Iran est interdite. Cette note a pour objet de présenter les principaux moyens actuels de lutte contre la prolifération ainsi que les méthodes utilisées par les réseaux pour contourner les sanctions internationales.

 

 

pdf Prolifération des biens à double usage : dans la nébuleuse des réseaux iraniens

 

 

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