« Il y a toute une offre bancaire qui s’est développée là-dessus, tout un régime de comportement qui s’est développé en fonction des attentes des clients. L’activité du marché des armements est un domaine assez complexe à vendre à certains investisseurs qui veulent bien faire des profits mais qui ne veulent pas faire du profit à travers ces activités-là », explique Yannick Quéau le directeur du GRIP. Cette importance accordée par les clients à l’éthique des investissements avait rendu les banques réticentes à investir dans la Défense.

Lire l’interview de Yannick Quéau sur le site de la RTBF